Mr. Vincent Sosthène FOUDA, vous êtes un homme d’actualité : vos fonctions universitaires au Canada, votre candidature présidentielle pour les prochaines élections au Cameroun, vous êtes présent sur youtube et facebook, vous avez votre propre site Internet www.generationcameroun2011.com, des blogs ont été créées pour vous, vous donnez différentes interviews aux medias africains, vous publiez des articles et ouvrages etc. Qui est Vincent Fouda ? Que diriez-vous si je dis que les techniques médiatiques ont été inventées pour que Vincent Fouda s’exprime ?
Vous savez quand on parle des Ewondo, on dit qu’il y a 4 grandes familles qui sont Ntsoungui Mballa le fils ainé, Atangana Mballa le second, Fouda Mballa le 3ème et enfin le quatrième et dernier enfant né après le décès du père, « moan evin akus » en ewondo c'est-à-dire enfant né avant le retrait du veuvage Essomba Ndana.
En lisant un de vos documents de Septembre 2007 concernant les origines et les valeurs de la société Beti, vous parlez du peuple Ekang. Mais finalement nous nous retrouvons dans une confusion totale au niveau de la perception historique des Beti. Pahouins, Fang, Ekang, Beti, Betsi, Bulu ... un peu trop de termes pour un meme peuple avec une langue commune. Ce que nous devons retenir historiquement de ce peuple, c'est quoi?
Le groupe Ekang est un peuple, un peuple est plus fort qu’un pays, parce qu’il le transcende. Un Pays est une institution, mais un peuple est plus q’une institution, il a un cœur, une âme, il y a une communion entre les vivants et les morts, ses rêves vont au-delà du rêve et se transmettent de génération en génération et chez les Ekang c’est une épopée, l’une des plus glorieuse d’Afrique.
A propos du même document vous dites : La société fang est normée, les règles, les rapports humains,…font l’objet d’un code oral, la coutume ou la tradition, …le respect de ce code oral, ce qui est le cas le plus souvent, est signe de stabilité et de tranquillité. Quel est l'impact de ce code oral sur notre vie actuelle ? Les normes et les règles empêchent généralement dans le contexte africain des innovations sociales. Elles nous amènent par exemple à concevoir la vie comme un schéma et nous obligent à ne pas prendre de décisions nécessaires pour une modernisation de la société. Les Beti ne sont-ils pas aussi passifs dans l'ensemble à cause de ce code oral ?
Un Ekang préférait la ruine de son champ que celle de sa parole !
Toujours concernant ce document vous décrivez le peuple Ekang comme peuple guerrier, peuple accueillant, peuple nomade et travailleur, peuple aujourd’hui
sédentaire ou sémi-sédentaire. De même vous présentez Ekang comme un peuple structuré et bien organisé. Les Ekang sont incontestablement agriculteurs et méthodiques. En principe vous soulevez ici les atouts d'un peuple pouvant faire de grandes réalisations. Le nomadisme par exemple associe les Ekang à ce peuple qui veut toujours le meilleur de lui-même, ce peuple toujours prêt à prendre des risques pour accéder à une prospérité. Alors qu'est-il arrivé aux Beti du Cameroun, membre de la grande famille Ekang ? Pourquoi vivons-nous dans la passivité en espérant que le reste du monde organisera notre société actuelle ? A quel moment du temps avons-nous perdu cet esprit d'organisation ?
La grandeur d’un peuple ne se bâtit pas sur des légendes mais sur des actions qui elles mêmes doivent reposer sur des compétences. Ceci est valable pour toutes les sociétés humaines.
Il est évident aujourd’hui que le peuple Beti est face à un problème de leadership. Il nous manque une orientation prometteuse sur tous les plans. Il manque au peuple Beti une figure centrale, une personne confiante pouvant proposer et assoire un modèle de développement. Quand pourrions-nous parler d'un leadership Beti ? S'il serait nécessaire de faire naître un leader, alors quel serait le type de bon leader dont nous aurions besoin ? Quelles seraient les caractéristiques personnelles idéales de ce type de leader ? Que veut dire « être un bon Beti » ?
L’arbre auquel le peuple Ekang s’identifie s’appelle Adzap en français le karitier – cet arbre apparaît dans le drapeau de la République de Guinée Equatoriale. C’est un arbre harmonieux qui n’étouffe pas les autres arbres, les arbustes et autres végétaux autour de lui ! il est vraiment majestueux
Mr. Vincent Sosthène FOUDA, le mouvement Nkul Beti se sert des termes comme Rassemblement, Solidarité et Engagement pour stimuler une nouvelle façon de penser chez les Beti. En tenant compte de l'évolution du monde, des avantages et des inconvénients de la globalisation, quelle est votre position par rapport à ces termes ? Pensez-vous qu'une mobilisation efficace des Beti peut se baser seulement sur le rassemblement, la solidarité et l'engagement ?
L’heure est aux grands rassemblements aujourd’hui et aucun peuple ne peut y échapper le peuple Ekang avec
D'après nos calculs, il est possible de mobiliser efficacement les Beti en se servant des moyens de communications actuels. En créant une plateforme commune de communication on peut mieux exploiter les ressources humaines, stimuler la création d'entreprises, les innovations technologiques et sociales etc. D'après vous, quel rôle peut jouer une communication commune basée sur Internet pour le développement du peuple Beti ? Quel est le modèle de communication adéquate pour amener un peuple à produire et à innover ?
Quelle est la place des innovations sociales et culturelles pour la prospérité du peuple Beti ?
En fait il s’agit de ceux et celles qui inventent des nouvelles façons de travailler et d’agir dans la société
Le phénomène de non-engagement chez les Beti est d'après nos observations l'une des raisons pour laquelle les objectifs d'ordre collectif la plupart du temps échouent. L'Homme Beti est généralement conscient de la nécessité d'une action ou d'un projet, mais il refuse d'aider, alors qu'il a les moyens et le temps d'apporter sa contribution. Comment peut-on expliquer ce phénomène ?
Le peuple Ekang existe par son histoire, sa culture, ses danses, sa cuisine, sa cosmogonie mais il n’est pas un mouvement d’ensemble, une pièce de théâtre où les uns et les autres font la même chose.
Quelles sont les étapes nécessaires à franchir pour que les Beti puissent s'intégrer au rythme mondial, notamment en produisant et proposant des services ?
Nous devons retrouver la confiance en l’autre qui loin d’être un obstacle pour notre propre accomplissement nous aide à nous accomplir dans ce que nous sommes
Mr. Vincent Sosthène FOUDA, revenons sur vous. Quelles sont les motivations pour lesquelles vous êtes devenu écrivain ? Comment peut-on se représenter le métier d'écrivain ? Quels conseils donneriez-vous à un jeune Beti qui voudrait bien assumer ce métier ?
On peut se dire écrivain mais tout le monde n’est pas MONGO BETI, Gaston-Paul EFFA, Calixte BEYALA. Quelque soit ce que l’ont pense d’eux, il faut avoir un de leur livre dans notre bibliothèque secrète pour arriver à l’écriture.
Vous êtes pour le moment universitaire du Québec à Montréal, mais le 6 novembre 2009 vous avez déclarez votre candidature à la prochaine élection présidentielle au Cameroun. Pourquoi voulez-vous devenir président du Cameroun ? Pourquoi êtes-vous prêt à vous lancer dans une vie politique généralement pleine d’obstacles, aléatoire, intrigante et manipulatrice, alors que vous avez votre tranquillité au Canada ? Quelle est votre motivation principale ?
Je connais le risque de l’engagement dans un pays comme le Cameroun. J’ai la chance d’avoir une épouse et des enfants qui même dans leur silence, je veux parler des enfants parce qu’ils sont encore assez jeunes, me remplissent de toute l’énergie dont j’ai besoin pour sortir de chez moi le matin.
Si nous avons bien compris, votre candidature est soutenue par un projet de société développé sur une période de 3 ans. Que devons nous retenir de ce projet ? représente-il un moyen efficace de rétablir un état de droit avec des institutions fortes ?
Le projet de société que nous soumettons au peuple camerounais va au-delà du travail d’observation que nous avons fait au Cameroun pendant trois ans
Nous avons retenue deux slogans de votre candidature : « C’est le moment ! » et « L’audace de construire une Nation forte dans la liberté ». Nous avons aussi suivi les interventions des camerounais sur votre plate-forme de communication www.generationcameroun2011.com , les intervenants ont le souci de savoir les moyens dont vous disposez pour gagner les élections. Alors quelle formule secrète disposez ? Comment allez-vous vous organiser pour se retrouver à ETOUDI ?
Le changement du Cameroun n’est pas l’affaire de Vincent Sosthène FOUDA-ESSOMBA, c’est un soulèvement au sens noble de cette expression du peuple Camerounais qui veut être dirigé autrement, avec des idées neuves, un souffle nouveau
Mr. Vincent Sosthène FOUDA, pour terminer cette interview, nous aimerions revenir sur un aspect délicat du Cameroun qui est « les Beti et la psychose culturelle ». Le locomoteur du mouvement Nkul Beti dont je suis parle d’illusion politique qui a poussé le peuple Beti vers la passivité. Nous vivons dans cette illusion d’être détenteurs d’un pouvoir politique qui nous garantira toujours la prospérité, alors que nous devenons de plus en plus esclave d’un monde producteur et bien organisé. Nous croyons avoir quelque chose, alors que nous n’avons effectivement rien. L’illusion politique a handicapé la société Beti presque sur tous les plans. Vous qui avez l’ambition de devenir le futur président du Cameroun portez l’étiquette « d’être Beti », la soi-disant « faute collective », l’une des conséquences de l’illusion politique qui risquerait devenir un inconvénient pour votre action. D’après vous existe-il une « faute collective » au Cameroun ? Que diriez-vous à un Beti qui se fait accuser injustement ? Comment réagiriez-vous face aux propos comme « les Beti ont détruit le Cameroun…, encore un d’eux… etc. » ? Et pour en finir quel serait le moyen efficace de faire sortir le peuple Beti de la psychose culturelle et politique dans laquelle il vit ?
Mon action s’inscrit dans toute une autre logique, elle va au-delà de l’ethnicisme et des considérations subjectives.
[Vincent Sosthène FOUDA] Depuis bientôt 15 ans, intellectuellement je travaille sur le devenir de mon pays avec la ferme conviction que nous avons notre destin entre nos mains. Je tire de l’enseignement de mes maîtres d’hier la force et la foi dont j’ai besoin pour proposer au peuple camerounais un projet de société né d’ailleurs de nos échanges. Je réponds ainsi à une question qui m’a toujours été posée. Où trouvez-vous tant d’énergie ? Du plus loin que je me souvienne, l’énergie qui m’habite est derrière la case de mes grands parents, elle est aussi dans l’éducation que j’ai reçue dans la Compagnie de Jésus et dans toutes ces religions révélées qui viennent rejoindre chaque camerounais quelque soit l’endroit où il se trouve.
Si j’ai une qualité c’est la fidélité et à la racine de toute fidélité se trouve l’engagement vrai, juste et sans faille, voila pourquoi je n’ai jamais trahi malgré les adversités humaines le serment fait à certains d’entre nous. Je pense à Jean-Marc Ela pour qui j’ai dû me battre avec la dernière énergie afin qu’il repose au Cameroun. Par cet acte j’ai voulu apporter un brin de réponse à la question de l’identité camerounaise. Qu’est ce qu’être camerounais ? Au plus profond de moi, je pense que la plus noble fidélité réside dans l’hommage qui se fait en l’absence de l’autre. Je suis un passionné de l’écriture parce que je sais au plus profond de moi ce que c’est que l’illettrisme. Au cœur de mon action politique se trouve l’accès à l’éducation pour tous non plus comme un slogan de campagne mais comme un objectif, une priorité, un droit pour chaque homme, chaque femme, chaque enfant de notre pays. Ma passion c’est la poésie, vaste champ d’énergie où chacun de nous autant que nous sommes est appelé à puiser le courage dont il a besoin pour forger les lendemains meilleurs. Je refuse de tremper ma plume dans un encrier depuis des années, je la trempe dans une mare de sang, le sang des innocents car pour moi, partout où l’homme souffre c’est une partie de l’humanité qui se meurt. Comme chaque camerounais je suis attaché à mon village où j’aimerais reposer un jour, auprès des miens, voila qui justifie mon entrée dans cette campagne qui sera longue et pour moi le seul enjeu de la prochaine consultation électorale étant l’audace de construire une Nation forte et prospère dans la liberté. C’est le moment. [Source: http://www.generationcameroun2011.com] Informations supplémentaires, contacts, liens, auteurs et copyrights
Vincent Sosthène FOUDA-ESSOMBA
Socio-politologue Chercheur associé à la Chaire de Recherche du Canada en mondialisation citoyenneté et démocratie Université du Québec à Montréal - Canada Coordonnateur de la plate-forme Cameroun Generation 2011 Candidat à la Présidence de la République http://www.generationcameroun2011.com vincent.fouda@generationcameroun2011.com LIENS INTERNET
Les questions de cette interview ont été rédigées par Maurice Ze.
Nous remercions Mr. Vincent Sosthène FOUDA ESSOMBA d’avoir accepté cet entretien. Les textes de cette interview doivent seulement être utilisés dans le cadre du mouvement Nkul Beti ou de la promotion de Mr. Vincent Sosthène FOUDA Tous Droits Réservés © Copyright 2010 Zemprosys Group Exclusivité - Interview avec Dr. Vincent Fouda, candidat à la présidence de la république du Cameroun
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