La liste des meilleurs Ministres et dirigeants et aussi la liste des Ministres médiocres, selon l'opinion publique

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La gouvernance des Ministres d'Etat, Ministres, Ministres délégués, Secrétaires d'Etat..., a été appréciée, à travers une vox populi, sur la base des réalisations concrètes, visibles, parlant d'elles-mêmes. Les populations sont-elles mal placées pour juger l'activité gouvernementale, elles qui en subissent, au propre comme au figuré, les conséquences? Nullement, croit savoir la Rédaction de "Le Soir", bien que Paul Biya soit le seul vrai juge.

Le constat est implacable: la vie de la nation, toute entière, tourne au ralenti. Pas moins l'actualité sociopolitique, occultée par l'observation des moindres faits et gestes du grand locataire du palais d'Etoudi". Visiblement, tout le monde est dans l'attente lancinante du remaniement post électoral, de l'appareil gouvernemental, auquel le Président de la République a habitué ses compatriotes. L'inertie, observée depuis quelques mois au sein du sérail, en dit d'ailleurs long sur la psychose s'étant emparée de certains gestionnaires de crédits. Mais, en attendant le fatidique décret discrétionnaire de Paul Biya, le seul maître du jeu, l'opinion publique, elle, a déjà séparé le bon grain de l'ivraie. S'adossant aux feuilles de route, supposées ou réelles, des uns et des autres, elle s'est prononcée sur quel membre de l'équipe(?) gouvernementale œuvre pour l'intérêt commun et quel autre roule pour son propre ventre.

Sans aucun doute, les potentiels lecteurs de ce journal vont se poser la question de savoir comment sa Rédaction a procédé pour collecter toutes ces informations. Trois mois durant, faut-il le souligner à grand trait, les journalistes de "Le Soir" ont donné la parole à un total de 500 personnes triées sur le volet, dans les dix régions que compte le Cameroun, soit 50 par région. Dans l'impossibilité de présenter, au cas par cas, les différents avis recueillis, la Rédaction en a donc, à la limite de ses moyens, dégagé la substantifique moelle. L'exercice n'a pas été facile... Voici donc; le gouvernement du 09 décembre 2011, dont l'action des membres plaide pour ou contre le maintien au pouvoir. Sans prétention aucune, le lecteur va découvrir, ici, les meilleurs collaborateurs du Chef de l'Etat, selon l'opinion publique, les champions de l'inertie, de l'imposture, les griots...

Martin Belinga Eboutou: la Communication au service de l'action du sommet de l'Etat

L'opinion publique constate que l'innovation est intervenue sous le magistère de l'actuel Directeur du Cabinet civil de la présidence de la République. Que, l'on n'étant mieux servi que par soi-même, le ministre Martin Belinga Eboutou a tôt fait de comprendre, qu'en ce siècle de mutations tous. azimuts, le tout n'est pas 'rie faire, encore faut-il faire savoir ce que l'on fait; qu'aujourd'hui, plus qu'hier, tout passe par la communication. D'où la naissance d'un magazine, qui est un espace de choix, une tribune sélecte et large pour l'information du tout public sur les activités de la présidence de la République.

En marge de cette initiative louable, l'opinion publique, constate également et avec satisfaction que le Directeur du Cabinet civil de la présidence de la République s'acquitte sans doute, à la hauteur des attentes de sa hiérarchie, des missions qui lui sont dévolues, ses états de services dans les arcanes du pouvoir ne pouvant que plaider pour lui. L'opinion publique laisse donc entendre que la confiance, qu'il inspire au Chef de l'Etat, Paul Biya, ne saurait être le fait de hasard.

Laurent Esso: tordre le coup à la corruption et aux détournements de deniers publics

L'opinion publique, dans sa grande majorité, est convaincue de ce que la seule stature du ministre d'Etat, Laurent Esso, est une caution suffisante pour l'équité, la justice, au sens propre du terme. Discret et froid, le ministre d'Etat, ministre de la Justice, garde des sceaux, constate cette opinion, est l'homme grâce à qui la lutte contre la corruption et les détournements de deniers publics a pris un tournant décisif dans le projet de société du chef de l'Etat et premier magistrat, Paul Biya.

Bien que certains détracteurs fassent parfois de l'amalgame sur le sens de rigueur et de perspicacité de ce magistrat hors hiérarchie, dans la gestion des dossiers de l'opération dite "Epervier", la môme opinion avoue que Laurent Esso est resté imperturbable. Le plus important, pense-t-elle, étant de conduire à. bon port les missions à lui confiées par la plus haute hiérarchie. N'en déplaise, d'après l'opinion, aux gens qui prétendent que se débarrasser de tous ses fils et filles, convaincus de malversations de biens publics, serait une manière pour l'Etat de se faire harakiri. Pour conclure, les populations interrogées, font savoir que l'assainissement des mœurs publiques est le passage obligé pour l'émergence du Cameroun à l'horizon 2035.

ANDRÉ MAMA FOUDA: la carte sanitaire en nette amélioration

Le ministre de la Santé publique est crédité de bons points au sein de l'opinion publique. Car, pour la plupart des avis recueillis, la foultitude des réalisations d'André Mama Fouda, les unes aussi importantes que les autres, parlent d'elles-mêmes. Très présent dans les médias, selon certains observateurs, ce qui n'est d'ailleurs, à leur avis, pas une mauvaise politique, puisque tenant à faire savoir ce qu'il fait, le chef de ce département ministériel est aperçu sur tous les fronts de l'amélioration de la carte sanitaire du Cameroun.

Du développement des infrastructures sanitaires à la formation des ressources humaines de qualité, en passant par la promotion des soins de qualité aux patients, l'opinion publique constate qu'en un aspect, de nature garantir une santé publique à la hauteur des attentes, n'est négligé. Que, la santé de la mère et de l'enfant, la lutte sans merci contre la mortalité infantile, le Sida, la tuberculose, le paludisme...la corruption et les détournements des malades et autres médicaments, sont autant de préoccupations majeures pour le ministre de la santé publique. Depuis que cet ingénieur polytechnicien est à la tête de ce ministère, a-t-on appris de la bouche de ces nombreux camerounais interrogés, l'hôpital public camerounais se porte de mieux en mieux.

JEAN CLAUDE MBWENTCHOU: un toit décent pour le commun des camerounais

S'il est un ministre du gouvernement du 09 décembre 2011, qui a été victime de son engage¬ment aux missions à lui confiées par le chef de l'Etat, constate l'opinion publique dans une large majorité, le ministre de l'Habitat et du développement urbain, en est un. Que, ses 'pro¬messes fermes, par voie de presse, de procéder la livraison des premiers logements sociaux, ont valu, en son temps, une salve d'applaudissements à Jean Claude Mbwentchou. Mais, que c'était sans ignorer certaines mauvaises, pratiques, érigées parfois en règle, telles que les coups bas, les règlements de comptes et autres peaux de banane.

Autant de facteurs qui ont d'ailleurs contribué, à. travers le lynchage médiatique, à ternir, sans grand succès, son image auprès du public. L'opinion nationale constate également que l'abnégation et le recul nécessaire aidant, le patron de l'habitat a néanmoins réussi à. sortir la tête de l'eau, en confondant ses détracteurs, par la livraison à Yaoundé et à. Douala de 1675 logements sociaux sur les 10.000, relevant du programme gouvernemental.

L'opinion publique constate par ailleurs, qu'il y a le programme des chinois portant sur la construction de 1800 logements sociaux, qui a démarré à Yaoundé avec 660 unités. Et qu'il y en rien d'autres. Notamment, ceux de trois firmes internationales-, dont le plus avancé a démarré Yaoundé avec la construction de 640 logements. Les deux autres devant consister en la construction de de 3100 logements, toujours à Yaoundé et Douala. L'opinion a également rejeté la contribution de la Mipromalo, qui entend démarrer un programme-pilote d'environ 120 logements à. Yaounde-Olembé. Au final, a-t-elle souligné, c'est plus de 7.300 logements qui sont en cours de construction dans ces deux métropoles.

L'on a également constaté que les villes de seconde zone n'ont pas été oubliées. Car, 10.000 logements sociaux seront construits dans 22 localités des dix régions. Que, le programme chinois en dehors de Yaoundé et Douala, quant à lui, portera sur quatre autres villes secondaires Bafoussam, Bamenda, Limbe et Sangmélima. A moyen terme, a-t-on appris, plusieurs autres villes secondaires, tirées sur les 58 départements, seront concernées par ce programme. Le bilan à mi-parcours de ce vaste programme, croit savoir l'opinion publique, est simplement le fruit du dynamisme du ministre Mbwentchou.

ESSIMI MEN YE: faire du Cameroun un pays agricole prospère

Les tirs groupés des journalistes de la presse gage, constate l'opinion publique, n'ont pas réussi à émousser le ministre de l'Agriculture et du développement rural, encore moins à le distraire. Et pour cause, soutient cette même opinion, Essimi Menye a la pleine mesure des missions et responsabilités qui sont les siennes : mettre en route l'agriculture de deuxième génération, qui tient à. cœur le chef de l'Etat. Car, d'après le projet de société de Paul Biya, le Cameroun, doit, dans un avenir plus ou moins lointain, compter parmi les plus grandes nations agricoles. C'est sans doute, rappelle-t-on au sein de l'opinion, la raison pour laquelle on voit le ministre Essimi Menye à l'œuvre. Lentement, mais sûrement, car l'agriculture à l'échelle industrielle, ainsi qu'il n'a de cesse à. le rappeler, commande le respect d'un certain nombre de paramètres.

Quand il n'est pas à la recherche des voies et moyens visant à promouvoir la production des intrants agricoles, apprécie-t-on, Essimi Menye, en personne, est dans les grands bassins devant servir de vitrine de ce vaste programme révolutionnaire. Selon lui, le tout n'est pas d'a¬voir des engins, encore faut-il savoir s'en servir, cibler les filières porteuses, disposer de la semence et de bonne qualité, des, engrais; faire l'étude du marché, envisager la transformation locale...Incompris au départ, regrette-t-on, le patron de l'agriculture, grâce à son génie en la matière, a commencé à mobiliser les populations.

Car, elles manifestent de plus en plus un engouement certain pour cette pratique, source de richesse. Cet engouement s'observe aussi bien chez les personnes formées en techniques agricoles que chez celles qui ne le sont pas. Chaque jour davantage, les jeunes n'ont plus trop de gêne à retourner au village. Car, ils ont compris qu'il y a un trésor caché dans la culture du cacao, du café, du maïs, de la banane plan¬tain, du manioc... L'on s'en doute, il a fallu du temps, pour que la mayonnaise prenne. Il en faudra d'ailleurs plus. Et ce résultat encourageant, l'opinion qui ne fait pas la fine bouche, le doit au doigté d'Essimi Menye.

RENÉ EMMANUEL SADI: la décentralisation, une préoccupation majeure

L'opinion publique n'a eu aucun mal à, juger l'action du ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation (Minatd), et pour cause. Il est de notoriété que René Emmanuel Sadi est l'un des rares ministres qui se montrent résolument et sincèrement au service des populations. Ceux qui le connaissent bien disent que, dans son vécu quotidien comme dans le cadre de ses missions régaliennes, le Minatd est un haut commis de l'Etat disponible, travailleur, qui ne s'encombre pas de protocole inutile, encore moins ne s'embarrasse lorsqu'il faut rendre service aux usagers.

Que, sa porte est toujours ouverte. Et que les hommes de médias sont mieux placés pour faire ce témoignage, eux qui n'éprouvent jamais de difficulté à l'aborder dans l'exercice de leurs fonctions. L'opinion publique relève également que le processus de décentralisation, dont les avancées ne sont d'ailleurs pas négligeables, lui tient à. cœur. Car, c'est une poli¬tique voulue par le Chef de l'Etat, Paul Biya, qui a pour objectif de désengorger l'administration centrale, afin d'assurer un développement global mieux soutenu, grâce à l'implication directe des populations locales. Ceux qui le côtoient révèlent également que les intrigues de la l’intéressent pas, qu'il consacre l'essentiel de son temps à sa tâche. Preuve en a encore été donnée, d'après l'opinion, lors des dernières consultations politiques.

BASILE ATANGANA KOUNA: faire oublier cauchemar des délestages et pénuries d'eau

Le ministre de l'Eau et de l'énergie, avoue l'opinion publique, est de ces membres du gouverne¬ment dont le séjour aux affaires tient sur une corde raide. Car, son domaine d'intervention pas très sensible, parce que rentrant dans l'ordre des besoins élémentaires des populations. Il Suffit donc d'un balbutiement de la desserte en eau, en électricité ou en carburants, reconnait cette opinion, pour voir les consommateurs descendre dans la rue, menaçant ainsi la paix et la stabilité du pays.

Impossible de s'imaginer qu'ils puis¬sent vivre sans ces denrées de première nécessité. Les événements de février 2008, de triste mémoire, en sont une illustration parfaite. Au regard de cette, approche, l'on est tenté de savoir par quelle alchimie le Dr Basile Atangana Kouna parvient à gérer ces dossiers délicats. A la vérité, confient les observateurs avertis, les délestages de l'électricité les pénuries d'eau et même des carburants, loin d'avoir été maîtrisés, ne hantent plus la conscience collective. Pour qui a été témoin de la souffrance des populations de Yaoundé, il n'y a pas longtemps, à cause des pénuries d'eau, sait de quoi il parle. Si .la situation semble sous contrôle, estime l'opinion publique, c'est sans doute grâce à la mise en place d'une batterie de mesures par le ministre Atangana Kouna, qui n'a ménagé aucun effort pour faire preuve d'ingéniosité.

Par ailleurs, l'opinion salue la dextérité avec laquelle la question des carburants est traitée. Lorsqu'elle se représente la thèse du complot, souvent agitée dans ce secteur hautement stratégique, affectant la vie entière de la nation, elle n'hésite pas à attribuer à ce chef de département une note supérieure ou égale à la moyenne.

LUC MAGLOIRE MBARGA ATANGANA: tenir en échec la vie chère

L'opinion publique pense que la longévité relative de Luc Magloire Mbarga Atangana au poste de ministre du Commerce, pourrait être mal interprétée, pour qui ignore le travail de titan qu'abat le département ministériel dont il a la charge. Pour la plupart des avis glanées, en effet, le séjour remarquable de ce ministre tient, sinon de la maîtrise de sa feuille de route, du moins du doigté nécessaire dont il fait preuve pour mener à bien ses missions. Bien que l'on constate que ses efforts sont parfois dilués par l'influence du commerce international, la spéculation créée par des opérateurs véreux à l'interne, il n'en demeure pas moins que la lutte contre la vie chère, l'un des chevaux de bataille du ministère du Commerce, fait son bonhomme de chemin.

Nul ne saurait nier, à cet effet, l'impact du contrôle des prix dans les marchés locaux, où certains commerçants en mal d'excès de gain, ont sou¬vent été sanctionnés avec la dernière énergie. L'opinion publique ne se garde non plus de reconnaître le déploiement impressionnant de la Mirap sur l'étendue du territoire national. Car, chaque jour 'qui passe, de nombreux ménages trouvent leurs comptes dans ses espaces, en achetant, à des prix abordables, des produits qui auraient été inaccessibles ailleurs. Surtout en périodes de fêtes, pendant lesquelles la spéculation devient le sport favori des opérateurs mal¬honnêtes. Le Cacao, le café, la banane...dans les marchés européens et ailleurs, font la fierté du Cameroun. Simplement, fait savoir l'opinion, parce que Luc Magloire Mbarga Atangana se tue à veiller au respect de leur qualité, de la nonne. Au grand bonheur des consommateurs.

EDGAR ALAIN MEBE NG0'0: une armée moderne au service du développement

L'histoire retiendra, constate l'opinion publique, que c'est sous Edgar Alain Mebe Ngo'o que l'année camerounaise a amorcé son décollage vers les cimes de la modernité. Que, des mutations profondes sont observables aussi bien sur le plan de la logistique que sur celui de la ressource humaine. Qu'aujourd'hui, tout le monde S'émerveille de ce que les forces de défense camerounaises ne sont plus cet instrument de terreur que l'on a connu par le passé. Que, de plus en plus, le militaire, le gendarme, est proche du civile. Qu'il se montre d'ailleurs de mieux en mieux à son service.

Que, grâce à la nouvelle approche qu'impulse le ministre délégué à la présidence de la République chargé de la Défense, il a compris que c'est pour protéger la personne civile ainsi que ses biens qu'il arbore fièrement l'uniforme militaire. L'opinion publique constate également que de nombreux ouvrages, portant l'estampille de l'armée camerounaise, sont observables à travers le territoire national. A la grande satisfaction des populations qui découvrent ainsi un autre visage de leur armée. L'investissement du chef de l'Etat, dans le processus de modernisation de cette année républicaine, par le truchement du patron de la défense, est une preuve, d'après l'opinion, qu'il attend davantage d'elle.

Qu’à côté de ses missions régaliennes, qu'elle devienne un instrument de premier ordre dans le chantier de l'émergence du Cameroun à l'horizon 2035. Et cette opinion publique ne se doute pas que Edgar Alain Mebe Ngo'o s'y attèle.

GRÉGOIRE OWONA: le dialogue et la sécurité sociale en marche

Des témoignages concordants et récurrents font état de ce que le ministre du Travail et de la sécurité sociale est un ministre pas comme les autres. Aussi bien dans son cadre professionnel qu'au sein de l'opinion publique, on dit de Grégoire Owona qu'il est un homme simple, affable, bonhomme, travailleur,, l'abord facile et toujours l'écoute de son entourage et des travailleurs en difficulté. C'est sans conteste, sou¬tiennent bien d'observateurs avertis de la scène sociopolitique, cette attitude, démystifiant et démythifiant la fonction de ministre, qui fait de lui un serviteur admiré et adulé du grand public.

Dans le monde des médias, où il n'esquive pas le débat, comme dans celui du dialogue social, le ministre Grégoire Owona, le sourire accrocheur ne le quittant jamais, a toujours le mot juste pour redonner confiance et susciter l'espoir auprès de ses interlocuteurs. Les habitués de la contestation syndicale en savent quelque chose. Car, retiennent-ils, lorsque vous êtes en crise et que vous avez prêté une oreille attentive à Grégoire Owona, il devient inutile de verser dans l'entête¬ment et les solutions aux problèmes posés cou¬lent parfois de source. L'on affirme que le fruit de ce labeur, de longue haleine, parlent en son nom, partout où il est passé.

Aujourd'hui, plus qu'hier, d'aucuns n'hésitent pas à reconnaître qu'il y a de moins en moins de soulèvements en milieux professionnels, où certaines querelles entre employeurs et employés étaient le fait de simples malentendus. On ne le notera jamais assez, l'opinion publique reconnaît que c’est grâce à la maîtrise des dossiers et à son tempéra¬ment unique que le patron du travail et de la sécurité sociale a généralement réussi à dés-amorcer la bombe; que c'est grâce à son charisme qu'on en est arrivé à ce résultat qui ferait des envieux.

Revenant d'ailleurs sur cette sécurité sociale dont on parle tant, assurance en a été donnée par ses soins, que le projet est en train d'être mis en route. Qu'au plus tard, en 2015, il doit avoir démarré afin que la couverture sociale au Cameroun soit autour de 20% en 2020. Et, qu'A long terme, ce nouveau système de protection sociale concerne, sinon tout le monde, du moins la majorité des populations.

LAURENT SERGES ETOUNDI NGOA: promouvoir la petite et moyenne entreprise pour sortir de la pauvreté

C'est sous le ministre Laurent Serges Etoundi Ngoa, avoue l'opinion publique, que la petite et moyenne entreprise, l'économie sociale et l'artisanat, ont connu une certaine visibilité sur le plan local et môme à l'international. Que, mal¬gré la modicité de l'enveloppe budgétaire, allouée à son département ministériel, le professeur Etoundi Ngoa ne lésine sur aucun levier pour faire avancer, en toute rigueur et responsabilité, le train d'émergence des activités relevant de son domaine d'intervention.

Qu'aujourd'hui, des salons d'expositions d'objets d'art de plus en plus nombreux, témoignant de la fertilité et de la vitalité du génie et du talent de certains compatriotes, font la fierté de l'artisanat et de la culture camerounaise. Ce qui n'était le cas jus¬qu'à une époque récente. Tout porte d'ailleurs à penser que ce ministre, d'après les avis recueillis, est sur la bonne voie et entend faire mieux, afin que la destination Cameroun devienne l'une des plus prisées en matière de création des œuvres de l'esprit dans le Monde.

Pour ce faire, apprend-on, des subventions, à la hauteur du portefeuille du ministère, sont accordées à ceux qui excellent dans le domaine. Que dire de la petite et moyenne entreprise ? Résolument, constate-t-on, elle s'impose dans le concert du développement local et prouve qu'elle a de beaux jours devant elle. Il suffit, croient d'aucuns, de l'organiser, selon les règles de l'art, afin qu'elle sorte du cadre de l'informel et devienne un véritable creuset d'emplois et une mine de richesses. Heureusement, remarque le public, le chef de ce département ministériel a le cœur à l'ouvrage.

HENRI EYEBE AYISSI: le bourreau des fautes de gestion

Il est assez discret. Cela est connu de tous, sur¬tout du chef de l'Etat, qui l'a nominé à ce poste, lourd de responsabilités. Cette discrétion frise parfois la timidité, aux yeux de certains. Mais, c'est mal connaître l'homme. Parce qu'il a donc le profil de l'emploi et la poigne nécessaire pour ce genre de missions difficiles, estime l'opinion publique, Paul Biya a fait de lui le ministre délégué à la présidence de la République chargé du Contrôle supérieur de l'Etat (Consupe). En d'autres termes, Henri Eyebe Ayissi est le gendarme de la fortune publique. Appelé ainsi à préserver les intérêts de l'Etat dans l'administration publique, il a le devoir et l'obligation d'appliquer des sanctions exemplaires à l'encontre des gestionnaires indélicats, convaincus de fautes de gestion.

Et cet exercice qui ne lui vaut pas que l'adhésion populaire, faut-il le relever, ne lui fait pas peur. En témoignent les levées de boucliers, souvent observées, face à des décisions jugées sévères. Cette adversité, on ne le notera jamais assez, laisse de marbre le ministre du Contrôle supérieur de l'Etat. D'ailleurs, si d'aucuns estiment que la publication, dans les médias, des résultats des dossiers d'enquêtes, est une manière de livrer les mis en cause à la vindicte populaire, il n'en est rien, croient savoir les observateurs avertis. Au contraire, cette stratégie est efficace à plus d'un titre. Car, elle a pour effet de créer une onde de choc dans les mentalités, afin e que nul n'en ignore.

En mettant donc à l'index les prévaricateurs des avoirs de l'Etat, en Mondovision, il est question de montrer que cette catégorie d'individus ne sont pas des modèles pour la société. Et, que quiconque tente l'expérience, doit savoir à quoi s'en tenir. Selon l'opinion publique, les sanctions, souvent, infligées, à grand renfort de publicités, participent de la dissuasion, la pédagogie et non des règlements de comptes, ainsi qu'en ont parfois donné l'impression les intéressés. L'opinion publique pense donc que si l'Etat veut voir son administration assainie, il faut que le patron de ce département se montre plus sévère dans l'usage de la chicotte.

EMMANUEL NGANOU DJOUMESSI: priorité aux projets structurants

L'opinion publique fait savoir que si les grands projets de développement se portent bien, c'est en grande partie grâce à l'investissement personnel d'Emmanuel Nganou Djoumessi, qui ne néglige aucun aspect permettant de mobiliser les fonds nécessaires à l'atteinte des objectifs escomptés. Si le ministre de l'Economie; de la planification et de l'aménagement du territoire met un accent sur les projets structurants, l'opinion publique pense que c'est à dessein. Car, ces projets, réalisés, entraîneront la croissance sur tous les plans. S'il y a de l'énergie électrique en abondance, pense cette opinion, les petites et moyennes entreprises ne pourraient que prospérer. S'il y a des routes viables à travers l'ensemble du territoire, le développement ne pourrait que suivre. Donc, visiblement, d'après l'opinion publique, Emmanuel Nganou Djoumessi ne se trompe pas de coach.

PIERRE BIDOUNG MPKWATT: la jeunesse et l'éducation civique, un mariage de Raison

Le ministre de la Jeunesse et de l'éducation civique, reconnait-on au sein de l'opinion publique dans sa grande majorité, est l'homme qu'il faut à la place qu'il faut. Il est dynamique, créatif, 'ingénieux, rassembleur; il a le gestuel, le mot juste, le sens de l'humour: il sait haranguer les foules ; il est proche de sa cible.. .Et, cette opinion pense que c'est autant de qualités que recherchent les jeunes ; qu'au-delà de toutes considérations, il est un modèle de dynamisme, de vigueur auquel ils veulent s'identifier. En Pierre Ismaël Bidoung Mpkwatt, révèlent les avis recueillis, le "fer de lance" de la nation camerounaise trouve la joie de vivre, la fouge de relever les défis qui l'interpellent. C'est forcément la raison pour laquelle le message passe. Il n'y a qu’à observer l'adhésion populaire que connaissent, à travers le territoire national, les campagnes de formation, d'information et de sensibilisation, qu'il organise sur un certain nombre de sujets de l'heure.

Notamment, la perte des valeurs fondamentales telles que la morale, le patriotisme, le goût du travail ; les effets pervers de la mondialisation... Pas moins les différents programmes de développement participatif et même individuel. L'opinion publique constate que cette préoccupation majeure draine égale¬ment de nombreuses foules, sous la houlette du ministre de la jeunesse et de l'éducation civique. Bien que le rythme paraisse lent, il n'en demeure pas moins, d'après la même opinion, que le changement des comportements, les bonnes manières, le savoir-vivre...réintègrent les mœurs sociales, à mesure que les consciences sont matraquées. C'est un mérite que le publie doit fièrement à Pierre Ismaël Bidoung Mpkwatt.

JACQUELINE KOUNG À BESSIKE: une dame de poigne qui maîtrise son domaine

Au Cameroun, l'opinion publique sait pertinemment que, s'attaquer aux questions domaniales, cadastrales et foncières, est synonyme de suicide volontaire. Car, elles sont complexes, du fait d'un certain nombre de pratiques malsaines, ancré dans les mœurs, telles que la corruption, le trafic d'influence .C'est peut-être pour ces rai¬sons, croit savoir la même opinion, que ceux qui sont nommés à la tête de ce ministère délicat, doivent avoir un certain tempérament et charisme. Amer, on se casse le visage ; miel, on se fait sucer par les abeilles. Elle pense que, pour s'en sortir dans ce département, il faut savoir manier la chicotte et la carotte.

Si non, l'on n'aura que du mal à gérer le patrimoine de l'Etat, tels que les véhicules et logements administratifs...qui n'ont cessé d'être un véritable casse-tête chinois, à cause de la mauvaise interprétation du fameux article '2. L'opinion publique fait savoir que les prédécesseurs, qui ne l'ont pas compris, en ont eu pour leurs comptes. Jacqueline Koung à Bessike, à l'observation, est dans cette logique de fermeté et de flexibilité. Malgré ses épaules frêles, le public constate que le ministre des Domaines, du cadastre et des affaires foncières, parvient à conduire la barque, elle qui n'a occupé un tel niveau de responsabilités 'que pour la première fois. L'opinion publique pense même que cette dame de poigne travaille bien, et que le chef de l'Etat, Paul Biya, ne s'est pas trompé en Jetant son dévolu sur elle.

ZACHARIE PEREVET: monsieur emploi et formation professionnelle

L'opinion publique pense que la réalisation des grands chantiers de l'émergence du Cameroun, l'horizon 2035, dépendent, de manière considérable, de la main d'œuvre locale. Mais, com¬ment les pouvoirs publics et particuliers pour¬raient l'employer à bon escient, si cette main d'œuvre n'est pas qualifiée ? La réponse à cette question, d'après cette opinion, se trouve inéluctablement dans la formation professionnelle des jeunes camerounais. Et Zacharie Perevet l'a si bien compris; lui qui a entrepris, depuis quelques années, à la résorption du chômage des populations, grâce à l'accent sur la formation divers métiers.

Mû par les défis qu'interpellent les projets structurants, le ministre de l'Emploi et de la formation professionnelle incite les jeunes à s'intéresser aux métiers avenir, tournant autour de l'énergie, l'industrie. L'opinion publique pense donc que Zacharie Perevet est dans une bonne voie. Car, c'est en garantissant l'emploi à tous ou à la majorité des populations, que le Cameroun pourrait préserver sa paix et sa stabilité, éléments fondamentaux sans lesquels le développement ne saurait être possible.

ISSA TCHIROMA BAKARY: le pourfendeur de la pensée unique

L'opinion publique nationale, dans son écrasante majorité, soutient que jamais ministre de la Communication n'aura marqué autant les esprits au Cameroun qu'Issa Tchiroma Bakary. Au propre comme au figuré. C'est avec dextérité et maestria, constate-t-elle, qu'il assure la communication gouverne¬mentale, un exercice qui est loin d'être une partie de plaisir. Si d'aucuns estiment qu'il en fait parfois trop, une bonne frange de l'opinion pense plutôt que le patron de la communication s'acquitte honorablement de sa tâche. Jamais, il n'esquive le débat et a toujours la réponse aux questions à lui posées. Il a horreur de la pensée unique. Avec humour et déborde¬ment d'énergie, il se sent toujours à l'aise et sait jouer le jeu, quand bien même certains professionnels de médias versent dans la tendance ou la provocation.

Par ailleurs, l'histoire retiendra, d'après la même opinion, que c'est le ministre Tchiroma qui a amené sur les mêmes tribunes de débats, les journalistes de la presse dite privée et ceux de la presse dite publique. Au grand bonheur de la démocratie et du développement. Aujourd'hui, plus qu'hier, l'opinion publique constate qu'il n'y a plus de différence de considération: encore moins de traitement des professionnels de la plume et du micro sur le terrain de l'actualité. Ce résultat encourageant, l'opinion publique le doit, sans conteste, à Issa Tchiroma Bakary. Pour ces raisons et pour bien d'autres, le ministre de la Communication camerounais mérite d'être regardé autrement... Avec de la hauteur, pourrait-on retenir.

JACQUES FAME NDONGO: faire de l'université un instrument de développement

D'après l'opinion de l'homme de la rue, le Professeur Jacques Fame Ndongo est de la crème d'intellectuels et de collaborateurs qui comptent pour le chef de l'État. C'est ce qui expliquerait, croit-gille savoir, sa longévité relative au poste de ministre de l'Enseignement supérieur. Parce qu'il à la maîtrise des dossiers, soumis à son appréciation, d'après cette opinion, le ministre Fame Ndongo et les cops de sauraient être que de bons amis. D'ailleurs, il ne manifeste aucune gêne, constate-t-elle, lorsqu'il est question de s'asseoir, sur une même table que les étudiants pour discuter d'un certain nombre des sujets intéressant la vie et la marche de l'université.

Il n'y qu'à observer, fait-on savoir, l'affluence autour des conférences qu'il a souvent présidées ou organisées. Visiblement, aujourd'hui, remarque le public, la logique de revendication stérile, agitée par le passe, n'est plus telle¬ment d'actualité au sein des campus. Selon certains, les cas marginaux, enregistrés, la plupart du temps, sont le fait des individus qui n'ont rien A voir avec le monde estudiantin. Le système Lmd (Licence-Master-Doctorat), implémenté des mains de maître par le Professeur en vue d'améliorer la qualité des enseignements, ne s'en porte que mieux. Car, il permet d'allier la théorie et la pratique afin de garantir un emploi à chaque étudiant. D'où le sacro saint principe qui lui est cher: un étudiant, un emploi.

LOUIS PAUL MOTAZE: l'oreille et I ’œil du Chef de l'Etat sur les projets structurants

La place privilégiée qu'occupe le Secrétaire général des Services du premier ministre dans la gestion des grands chantiers de l'émergence, n'est pas un fait de hasard, d'après l'opinion publique. Sa maîtrise des dossiers des projets structurants, du temps qu'il assurait les fonctions de ministre de l'Economie, ne pouvait, d'après cette opinion, que militer en sa faveur auprès du chef de l'Etat, qui tient à les voir menés à terme. Elle va d'ailleurs plus loin en relevant que cet argument il 'est plus suffisant pour justifier la confiance dont jouit Louis Paul Motaze auprès de la plus haute autorité de l'Etat.

L'admettre, dit-on, est mal connaître l'homme. En effet, ceux qui ont côtoyé ce commis de l'Etat disent qu'il un travailleur inlassable ; qu'il est si dynamique qu'il parait parfois impertinent de par son tempérament chaux, qui pourrait heurter certaines sensibilités. Et qu'au-delà de toutes considérations, en tant que l'oreille et l'œil du promoteur des « grandes réalisations », il reste concentré sur les missions A lui confiées.

JEAN BAPTISTE BOKAM: sécurité tous azimuts des personnes et de leurs biens

Le Secrétaire d'Etat à la Défense chargé de la Gendarmerie n'est pas, aux yeux de l'opinion publique, de ces responsables qui ne savent prêcher par l'exemple. Soucieux de la sécurité des populations et de leurs biens, aussi bien dans la voie publique qu'ailleurs, Jean Baptisme Bokam ne ménage aucun effort pour traquer les bandits qui nuisent à la tranquillité des citoyens et les automobilistes pour qui la vie humaine n'a que peu de considération. Cette opinion relève qu'il est régulièrement, en personne, sur le terrain, les axes routiers accident gènes en l'occurrence, pour toucher du doigt les réalités du trafic routier, et n'hésite pas à infliger des sanctions conséquentes en cas de flagrance.

Et, visible-nient, renchérit le public, cet engagement personnel du patron de la Gendarmerie porte des fruits. Car, aujourd’hui, il note une réduction importante des accidents de circulation, surtout sur le triangle dit de la mort (Yaoundé-Douala, Douala-Bafoussam, Bafoussam-Yaoundé). La peur du gendarme est de plus en plus le début de la sagesse dans les mentalités, bien que la tendance soit à une gendarmerie de proximité.

La suite de la liste des dirigeants jugés meilleurs

Ferdinand Ngoh Ngoh: Secrétaire général de la présidence de la République

Séraphin Magloire Fouda: Secrétaire général adjoint de la présidence de la République

Joseph Anderson Le: Directeur adjoint du Cabinet civil

Ange Michel Angouin: ministre de la Fonction publique

Marie Thérèse Abena Ondoa : ministre de la Promotion de la femme et de la famille,

Ama Tutu Muna: ministre des Arts et de la culture

Patrice Amba Salla: ministre des Travaux publics

Jules Doret Ndongo: ministre délégué, auprès du ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation chargé des Collectivités territoriales décentralisées.

Philipe Mbarga Mboa: ministre chargé de missions à la présidence de la République

Paul Atanga Nji: ministre chargé de missions à la pré¬sidence de la République

Mengot Victor Arrey Nkongho : ministre chargé de missions à la présidence de la République

Hamadou Moustapha : ministre chargé de missions la présidence de la République

Menro Oumarou : ministre délégué auprès du ministre des Transports

Pierre Titi : ministre délégué auprès du ministre des Finances

Clémentine Ananga Messina : ministre délégué auprès du ministre de l'Agriculture et du développement rural charge du Développement rural

Jean Pierre Fogui : ministre délégué auprès du ministre de la Justice, garde des sceaux

Benoît Ndong Soumhet : Secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Education de base

Alim Ayatou : Secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Santé publique

Koumpa Issa : secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Défense chargé des anciens combattants et victimes de guerres.

Fuh Calistus Gentry : secrétaire d'Etat auprès du ministre des Mines, de l'industrie et du développement technique

Mounouna Foutsou: secrétaire d'Etat auprès du ministre des Enseignements secondaires chargé de l'Enseignement normal

Marie Rose Dibong : Secrétaire d'Etat auprès du minis¬tre de l'Habitat et du développement urbain chargé de l'Habitat

Dooh Jérôme Penbaga: Secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Justice, garde des sceaux de l'Administration pénitentiaire

La liste des dirigeants jugés médiocres

N'ayant pas cru utile d'insister sur les cas suivants, la Rédaction s'est réduite à répertorier les manquements des uns et des autres.

Philémon Yang: premier ministre

L'opinion publique reproche au chef du gouvernement : l'inertie, le laxisme, le manque de charisme.

Amadou Ali : vice-premier ministre, ministre délégué à la présidence chargé des Relations avec les Assemblées L'opinion publique lui reproche l'inertie et l'intrigue.

Abba Sadou: ministre délégué à la présidence chargé des Marchés publics

L'opinion publique lui reproche l'inertie, le laxisme, le manque de charisme pour infliger des sanctions à certains de ses collaborateurs, le manque de transparence dans la gestion de certains marchés publics.

Alamine Ousmane Mey: ministre des Finances

L'opinion publique lui reproche l'incompétence, l'inertie et le laxisme.

Ngole Philip Ngwese: ministre des Forêts et de la faune

L'opinion publique lui reproche l'incompétence, l'inertie et le laxisme

Madeleine Tchuinté: ministre de la Recherche scientifique et de l'innovation

L'opinion publique lui reproche l'incompétence, l'inertie, le laxisme et le manque d'initiative.

Peter Agbo Tabi: Secrétaire général adjoint de la présidence de la République.

'opinion publique lui reproche l'inertie.

Dr Taïga : ministre délégué auprès du ministre de l'Economie, de la planification et de l'aménagement du territoire chargé de la pla-nification

L'opinion publique lui reproche l'inertie et le laxisme.

Adoum Gargoum : ministre délégué auprès du ministre des Relations extérieures

L'opinion publique lui reproche l’inertie.

Joseph Dion Ngute : ministre délégué auprès du ministre des Relations extérieures chargé de la Coopération avec le Commonwealth

L'opinion publique lui reproche l'inertie et le laxisme.

Dr Nana Aboubakar Djalloh : ministre délégué auprès du ministre de l'Environnement, de la protection de la nature et du développe¬ment durable

L'opinion publique lui reproche l'inertie et le laxisme.

Yaouba Abdoulaye : ministre délégué auprès du ministre de l'Economie, de la planification et de l'aménagement du territoire L'opinion publique lui reproche l'inertie.

Hans Nyetam Nyetam : Secrétaire d'Etat auprès du ministre des Travaux publics chargé des routes

L'opinion publique lui reproche l'inertie.

Koulsoumi Alhadji : Secrétaire d'Etat auprès du ministre des Forêts et de la Faune

L'opinion publique lui reproche l'inertie.

La suite de la liste des dirigeants jugés nuls

Catherine Bakang Mbock : ministre des Affaires sociales L'opinion publique lui reproche l'incompétence, l'inertie, le laxisme, le manque d'initiative, de charisme, la cupidité et l'attitude courtisane.

Bello Bouba Maïgari : ministre du Tourisme et des loisirs L'opinion publique lui reproche l'incompétence, l'inertie, le laxisme, le manque d'initiative et de vision.

Louis Bapès Bapès : ministre des Enseignements secondaires L'opinion publique lui reproche l'inertie et le laxisme (Complicité supposée ou réelle dans la gestion des dossiers des Ape, monnayage des postes de nominations...)

Robert Nkili : ministre des Transports

L'opinion publique lui reproche l'incompétence, l'inertie, le laxisme, l'arrogance, la condescendance, la cupidité et l'intrigue.

Fernand Adoum Garoua : ministre des Sports et de l'éducation physique
L'opinion publique lui reproche l'incompétence, l'inertie, le laxisme, le manque d'initiative, le manque de charisme, l'attitude courtisane.

Jean Pierre Biyiti bi Essam : Ministre des Postes et télécommunications
L'opinion publique lui reproche l'inertie, le laxisme et l'intrigue.

Pierre Moukoko Mbonjo : ministre des Relations extérieures L'opinion publique lui reproche l'inertie, le laxisme et l'arrogance.

Alim Adidja : ministre de l'Education de base

L'opinion publique lui reproche l'inertie, le laxisme (Incapable de faire appliquer le décret du chef de l'Etat sur la gratuité de l'école)

Emmanuel Bonde: ministre des Mines, de l'industrie et du développement technologique

L'opinion publique lui reproche l'inertie et le laxisme.

Hélé Pierre : ministre de l'Environnement, de la protection de la nature et du développement durable

L'opinion publique lui reproche l'incompétence, l'inertie et le laxisme.

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30-03-2016 09:43:23